Tortilla et coulis de poivron rouge
Bonjour tout le monde :-)
Youyouuuu il y a un beau soleil chez nous aujourd'hui et on nous annonce un beau week-end. Cela me donne envie de faire un peu de sport :-)
Je vous propose une petite recette apéritive bien facile et que mes convives adorent à chaque fois.
Pour 12 cuillères il vous faut :
6 oeufs
3 pommes de terre cuites
1 oignon
100 g de chorizo doux
4 cuil. à soupe d'huile d'olive
1 petit bouquet de basilic
1 pincée de safran
30 g d'olives noires dénoyautées
sel et poivre
1 gros poivron rouge
quelques gouttes de vinaigre balsamique blanc
On attaque la préparation :
Émincez finement l'oignon. Épluchez, puis découpez le chorizo en petits cubes. Découpez aussi les pommes de terre en petits cubes. Battez et assaisonnez 6 oeufs avec une pincée de safran, du sel, du poivre et quelques feuilles de basilic hachées.
Dans une poêle moyenne assez haute, faites revenir les oignons dans une cuillère d'huile d'olive, ajoutez le chorizo, puis les pommes de terre. Laissez cuire doucement 1 minute. Versez les oeufs battus et faites cuire comme une omelette épaisse, 3 minutes de chaque côté. Débarrassez l'omelette et laissez -la refroidir.
Lavez et émincez le poivron rouge en lanières. Faites-le revenir tout doucement pendant 10 à 12 minutes dans une poêle avec 2 cuillères à soupe d'huile d'olive. Mixez dans un robot les lanières de poivron avec un peu d'huile d'olive, quelques gouttes de vinaigre et du sel. Liquéfiez le coulis avec un peu d'eau si nécessaire.
Détaillez 12 cubes réguliers dans la tortilla. Répartissez le coulis de poivron dans les cuillères. Déposez un cube de tortilla et décorez avec les olives noires hachées.
Petit truc : Pour retourner l'omelette, à mi-cuisson, sans la casser, il suffit de la glisser dans un grand plat, puis de poser la poêle dessus à l'envers et de retourner le tout.
C'était Loredana qui va bien vite enfiler ses baskets pour aller à la salle de sport :-)
A vous les studios :-)
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"Le plaisir de la table est de tous les âges, de toutes les conditions, de tous les pays et de tous les jours ; il peut s'associer à tous les autres plaisirs, et reste le dernier pour nous consoler de leur perte."
Brillat Savarin